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Compte-Rendu : l'accès à une énergie durable : pilier pour les services essentiels

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Accès à l'énergie Énergies renouvelables
Compte-Rendu : l'accès à une énergie durable : pilier pour les services essentiels
Par 
ADEME, SER, AFD
Le 30 jan 2024

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CR - Accès à une énergie durable

La conférence, organisée par l’ADEME, l’AFD et le SER le 10 mai 2022, avait pour but de présenter les travaux du groupe de travail (GT) et d'identifier les priorités pour accélérer l'atteinte des objectifs en matière d'accès à l'énergie. Tenue en format hybride, l'événement a rassemblé plus de 90 personnes en présentiel à Paris et a permis à des participants distants de se connecter via l'application Imagina. Animée par Philippe Legueltel de l'agence Aprim, la journée a été l'occasion de partager les grandes leçons tirées des exercices de capitalisation.

L'un des points majeurs abordés lors de la conférence était la question de la souveraineté en matière de production énergétique, en particulier en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est, où près de 800 millions de personnes n'ont pas accès à l'électricité. Pour répondre à ces défis, il est estimé qu'il faudra investir environ 35 milliards de dollars par an. En France, tant les ONG que les entreprises ont développé un savoir-faire dans l'accompagnement de l'accès à l'énergie, offrant diverses solutions telles que l'extension de réseau, les kits solaires et les mini-réseaux.

Les discussions ont également souligné l'importance des politiques publiques, de la tarification et du renforcement des capacités pour favoriser l'émergence de projets d'accès à l'énergie. L'innovation, la planification et la gestion en fin de vie des installations ont été identifiées comme des aspects cruciaux à prendre en compte dans ce domaine.

Document CR global

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1ère table ronde : Les politiques publiques et le cadre réglementaire, genèse des stratégies nationales d’accès à l’énergie
  • David LECOQUE, Directeur général, Alliance for Rural Electrification (ARE)

L’ARE fédère plus de 200 structures actives dans l’électrification rurale, avec des énergies renouvelables décentralisées. Un des objectifs de l’ARE est de travailler sur l’amélioration des cadres réglementaires.

Le Guide pour l’élaboration d’un cadre réglementaire favorable aux mini-réseaux à base d’énergie renouvelable, réalisé par un consortium d’acteurs dont l’ARE, permet de répondre à une demande d’intégrer les mini-réseaux dans les stratégies d’électrification nationales et de développement rural. Le principal problème identifié est que les investissements ne sont pas à la hauteur des objectifs.

Une priorité : avancer plus vite et faire en sorte que les travaux réalisés soient mis en oeuvre sur le terrain.

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Restitution de la capitalisation du 1er appel à projets de 2017 de l’ADEME sur les solutions innovantes pour l’accès à l’énergie hors-réseau

L’ADEME en partenariat avec le ministère de la Transition Ecologique a lancé en 2017 un premier appel à projets sur les solutions innovantes pour les projets d’accès à l’énergie hors-réseau. 9 projets lauréats mis en oeuvre en Afrique ont été sélectionnés, dont les grandes lignes sont présentées dans le support de présentation. L’exercice de capitalisation n’étant pas terminé, il s’agit ici de quelques premiers enseignements, les résultats finaux seront publiés à la rentrée.

  • Maxime Guillaud, Fondateur & Dirigeant, INSKIP
  • Stéphane Baudé, Dir. de Projet, Nomadéis
  • Hugo Bacry, Nomadéis

6 facteurs clefs de succès ont été identifiés au travers de cette capitalisation :

1) Disposer d’une aide juridique et réglementaire : des difficultés de communication avec les autorités locales et nationales ont été relevées qui mènent parfois à des refus d’obtention d’autorisations.

2) La facilitation administrative et institutionnelle : le réseautage avec les institutions permet de débloquer les autorisations.

3) L’adaptation et l’ancrage aux spécificités locales : certains porteurs de projets ont eu des difficultés face à l’acceptabilité des populations. Le facteur clé de succès à retenir est le suivant : avoir des équipes bien renseignées et ancrées dans les usages et prévoir des road maps bien structurées.

4) L’approche au réseau local et l’approche auprès des parties prenantes : un facteur essentiel dans le succès des projets est d’avoir des relais sur place, au plus près de la clientèle. Ces partenaires doivent être identifiés au plus tôt dans la vie des projets et il est essentiel de les inclure dans des instances de décision.

5) La composition des équipes qui portent le projet.

6) L’anticipation financière et l’anticipation du passage à l’échelle permettent de construire des plans de financement sur les différentes étapes du projet et ainsi d’anticiper les dépenses.

La grille de lecture proposée a permis d’évaluer le projet depuis son démarrage en 2017. Cette grille d’analyse repose sur différents critères :

  • L’innovation ;
  • L’adaptation aux réalités locales, l’ancrage local, la réplicabilité, le changement d’échelle et la plus-value du projet ;
  • La capacité de mise en oeuvre des équipes.
Support de la présentation Capitalisation

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Présentation de 4 projets lauréats :

Le projet du Biocombustible Typha Industriel (BTI) consiste en la mise en place d’une ligne de production industrielle pilote pour de la biomasse énergie à partir de typha en Mauritanie. Le GRET, qui porte ce projet, a pour objectif de faciliter l’accès à une énergie de cuisson plus respectueuse de l’environnement et permettant un développement économique de la région.

Le projet a pour but, dans sa phase pilote, de produire 1000 T par an de biocombustibles et a permis de faire évoluer le TRL (Technology Readiness Level) de 5 à 7.

Le GRET a pris conscience de la nécessité de dialoguer régulièrement avec les institutions nationales et locales sur le contexte de la mise en oeuvre notamment. Ils ont fait face à des différences de rythme entre le comité exécutif et les partenaires qui ont pu être palier grâce aux réunions régulières organisées. L’amélioration du dialogue avec les institutions locales a pu déboucher sur une vraie prise de conscience au niveau national sur l’importance de la valorisation du Typha.

Benoo avec le projet EMPER propose un dispositif de kiosques déployé pour électrifier des villages en zones isolées. Ces kiosques ont été paramétrés pour différents usages. L’intérêt de ce projet, qui a été déployé sur 5 localités, c’est l’écosystème local qui a été très pertinent, la logique partenariale avec des locaux et la partie digitale ont plutôt bien fonctionné. L’appropriation locale et notamment l’implication des femmes ont été déterminantes.

PAMIGA propose une solution de panneaux solaires équipés d’une technologie PAYGO permettant de créer un partenariat entre les institutions de microfinance et les différents installateurs. Plus de 3600 produits solaires ont été installés, plus d’une centaine d’agences formées sur le terrain et environ 80 entrepreneurs formés pour installer ces produits. 2 difficultés principales rencontrées :

- Difficultés techniques sur l’intégration du paiement financier ;

- Partie réglementaire : de nouvelles réglementations mises en place ont mis un frein au projet.

Zembo propose de la vente en leasing de motos électriques rechargées à l’électricité solaire. Une flotte de 200 scooters électriques, 400 batteries et 27 stations de recharge opérationnelles ont été mis en place. Zembo a évalué que les chauffeurs économisaient 10$ par semaine par rapport aux solutions à moteur thermique.

Ils ont dû instaurer un système de maintenance en mettant en place une solution prédictive de prévention des pannes, des solutions techniques pour adapter les 2 roues électriques aux réalités climatiques africaines. Enfin, le soutien institutionnel a été essentiel. La solution bénéficie d’une bonne réputation et notoriété en Ouganda pour envisager un déploiement de plus de 2000 motos.

Retours d’expérience d’opérateurs privés et d’ONG
 
  • Jérôme Gastaud, Chef de Projet Climat Energie, FFEM
  • Emeline Moreau, Chargée d'appui au département SEREN, GRET
  • Géraldine BRUGGEMAN PALLIERE, Gestion de projets Energie, IED
  • Iris NICOMEDI, chargée de missions internationale, ADEME
  • Nicolas SAINCY, Cofondateur Nanoé Madagascar
  • Alexis CAUJOLLE, Responsable programme – Accès à l’énergie, GERES

L’AFD, le FFEM et l’ADEME ont souhaité tirer les leçons des expériences récentes en matière de mini-réseaux électriques, en vue de rendre plus efficiente leur approche du secteur. Il a donc été proposé à trois ONG (GRET, GERES et FONDEM) et trois acteurs privés (SAGEMCOM, NANOE et IED) de partager et croiser leurs expériences en matière de projets d’électrification par mini-réseaux, en vue de valoriser les bonnes pratiques et de catalyser les synergies possibles entre ONG et acteurs privés.

Les travaux de capitalisation ont notamment porté sur les modes opératoires des projets et sur la temporalité de leur préparation et de leur mise en oeuvre, ainsi que sur les rôles des institutions publiques et des bailleurs de fonds. Des enseignements ont pu être tirés sur les bonnes pratiques pour agir dans des contextes réglementaires parfois rigides ou inaboutis, et sur les nécessaires appuis au renforcement des capacités locales, tant pour les opérateurs locaux des infrastructures, qu’à destination des utilisateurs et de l’écosystème économique local.

L’anticipation, la flexibilité, et un dialogue approfondi au niveau local sont apparus comme des clefs de succès pour le montage des projets. L’appui au financement des équipements productifs et des équipements d’usage est aujourd’hui reconnu comme une nécessité pour assurer et maximiser les impacts des projets d’électrification.

La stimulation du vivier local d’entrepreneurs et la formation, notamment des jeunes, se révèlent essentielles au développement économique local, et à la pérennité des infrastructures d’électrification. De plus, l’ambition du changement d’échelle en termes de couverture géographique et d’impacts, suppose de créer des partenariats de long terme avec des acteurs locaux capables porter cette ambition et d’accompagner sa mise en oeuvre.

La combinaison de ces approches – anticipation, flexibilité, dialogue, stimulation, appui aux usagers - contribue à la viabilisation économique des opérateurs et à la pérennisation des infrastructures.

Enfin, une flexibilité et une ouverture accrues dans les procédures de sélection des projets par les organismes financeurs, et un encouragement à la recherche de synergie entre parties prenantes, permettrait de favoriser les innovations dans les modes de faire et dans les options techniques à disposition des bénéficiaires.

Les produits de cette capitalisation (fiches d’expérience et de recommandations, vidéo d’interview, verbatim d’acteurs de terrain) sont disponibles en ligne sur la plateforme MIRO didactique et interactive.

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Atelier de capitalisation et retours d’expérience : les moyens de lier l’accès à l’énergie et les usages productifs dans l’objectif de favoriser le développement économique local

Modérateur de l’atelier : Clément LUGAGNE, Chargé d’études – Animation du réseau de Coopération Internationale Climat-Energie, copilote du SGT3 du GT National sur l’accès à l’énergie

Cet atelier est le 5ème et dernier réalisé dans le cadre du SGT3 Capitalisation et Retours d’expérience de la 2ème phase des travaux du GT National sur l’accès à l’énergie copiloté par l’ADEME et le SER.

L’accès à l’énergie n’est pas une fin en soi et au-delà des usages domestiques, il est indispensable qu’il constitue un levier du développement économique local. Les usages productifs permettent de dégager des revenus, créer des consommateurs d’ancrage, d’enclencher le processus de développement économique et renforcer les modèles économiques des exploitants.

  • Madeleine FAUCHIER, Responsable du Développement, FONDEM

La méthodologie PAMELA a été réalisée entre 2016 et 2020 en collaboration avec le laboratoire Pacte de l’Université de Grenoble, un certain nombre de partenaires et d’associations locales et non locales ainsi que les AER à Madagascar et au Sénégal.

La méthodologie PAMELA consiste à faire ressortir un processus en 5 étapes pour assurer l’émergence d’activités génératrices de revenus (AGR) et renforcer les opérateurs électriques locaux. Elle se veut adaptable à différents contextes et été réalisée sur la base de constats :

1) L’arrivée de l’électricité dans un village n’est pas nécessairement suivi d’un développement économique, il existe des barrières à l’entrepreneuriat et des problématiques plus structurelles sur l’entrepreneuriat féminin par exemple ou d’accès aux crédits.

2) Les usages domestiques de l’électricité ne sont pas suffisants pour soutenir un plan d’affaires d’un opérateur électrique pour réaliser la pérennité du service électrique.

 

Les 5 étapes de la méthodologie sont les suivantes :

1) Etude du contexte socio-économique et étude du système électrique ;

2) Sensibilisation des populations sur les usages productifs et première vague d’appels à projets et appels à entrepreneurs ;

3) Sélection officielle des porteurs de projets qui se fait en 2 étapes et permet de réorienter et sélectionner le besoin en formation ;

4) L’installation des équipements et la récupération de la partie en co-financement ;

5) L’accompagnement et le suivi dans le temps.

 

Retours et perspectives :

1) Le besoin en formation est très important ;

2) Beaucoup de questions se posent sur les capacités d’épargne et d’endettement des entrepreneurs sélectionnés

3) L’appui très spécifique de l’entrepreneuriat féminin est nécessaire afin de permettre l’accompagnement dans l’identification des usages productifs et l’appui pour l’accès aux crédits ;

4) Travailler sur l’innovation technologique est important notamment pour le recouvrement des factures en envisageant des solutions de prépaiement ;

5) Il est pertinent de prévoir des modalités, des fonds d’urgence pas encore fléchés au moment du projet.

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  • Michel TRANIER, Chef de projet Café Lumière, ESF

Café Lumière est un projet à Madagascar financé majoritairement par l’AFD sur les hauts plateaux : ce qui confère des spécificités compte tenu du climat sur les usages. ESF a volontairement choisi des villages de petites dimensions dont le développement n’est pas évident et a construit des installations en fonction du budget et des besoins.

6 villages ont été équipés d’une plateforme de services constituée d’une microcentrale photovoltaïque avec stockage et d’un backup avec un groupe électrogène. Il y a une volonté portée par ESF de faire profiter l’énergie électrique et le service à un maximum de la population via des lampes solaires, des SHS, des recharges de téléphones... La plateforme permet également l’alimentation des services publics : écoles, centres de santé, mairies etc…

Les villages sont sur des zones de riziculture : le riz étant l’alimentation principale. Le seul usage de l’énergie fossile dans ces villages est dédié au décorticage du riz, les moteurs diésel ont donc été remplacés par des décortiqueuses électriques caractérisées par des prix relativement faibles. D’autres usages productifs sont les suivants :

1) Outillage électroportatif classique ou sur batterie ;

2) Postes à souder ;

3) Froid.

Enfin, les facteurs clefs de réussite et de pérennité identifiés sont :

1) Bien concevoir les installations (quels puissance, budget et besoins) ;

2) Identifier et accompagner les AGR rendues possibles par l’énergie électrique dans les autres secteurs (santé, agriculture, accès à l’eau, artisanat et accès à internet) ;

3) Solliciter des financements via des institutions de microfinance (IMF).

4) S’assurer de bien transmettre les compétences au sein des villages et la formation des utilisateurs par les partenaires du projet basés dans le pays.

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  • Eric EUSTACHE, Head of the Agro-entrepreneurship cluster – Entrepreneurs du Monde

Entrepreneurs du Monde est une ONG qui travaille sur 4 métiers :

1) La microfinance

2) L’accès à l’énergie

3) Le support et la création de très petites entreprises (TPE)

4) L’agro-entrepreneuriat

L’association crée des entreprises sociales sur le mode projet : identification d’un problème et solution apportée basée sur une activité possédant un modèle économique pour avoir une pérennité dans le temps.

La conservation des produits agricoles au Sahel est la problématique choisie par Entrepreneurs du Monde. Elle est connue depuis longtemps par les acteurs du développement. Comment conserver à températures contrôlées des produits agricoles relativement fragiles ? On estime que 20% de la production de céréales (ce qui représente 48 millions de personnes à nourrir) en Afrique Subsaharienne est perdue chaque année, ce qui représente environ 4 milliards de dollars de perte annuelle. Pour les légumes et fruits, les pertes sont de l‘ordre de 30% à 60%. Le facteur limitant de ces problématiques est l’accès à l’énergie pour produire du froid.

L’approche adoptée a donc été d’identifier à quelle température les produits pouvaient être conservés et combiner des moyens low-tech, des technologies faciles et un peu de technologies High-tech pour obtenir des solutions qui permettent d’atteindre les objectifs fixés.

Le modèle choisi : un bâtiment construit par la main d’oeuvre locale avec une double isolation en terre pour réduire l’échauffement, et des murs à vent pour assurer l’évacuation de l’air humide. Le photovoltaïque permet de produire du froid avec de petits climatiseurs et des ventilateurs permettent d’extraire l’air humide. Cette installation dotée d’une puissance de 12kW permet de conserver une température intérieure à 25 degrés et donc de retarder la mise sur le marché des produits qui y sont stockés.

L’objectif est de construire beaucoup de bâtiments et de les exploiter via une entreprise à vocation sociale, une entreprise de stockage dont le métier consistera à assurer les opérations d’entrée et de sortie, d’entretien des bâtiments etc.

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  • Christian CESBRON, Responsable développement international et industrie, Freecold

Freecold développe des solutions innovantes de réfrigération par des systèmes solaires. Avec une gamme très large qui va des réfrigérateurs et congélateurs ménagers jusqu’aux chambres froides, des petits réfrigérateurs mobiles pour la vente ambulatoire et les systèmes de cuves de stockage de réfrigérés.

40% à 50% des produits en Afrique sont perdus juste après récolte, le programme alimentaire mondial parle de 20 millions de tonnes en Afrique Subsaharienne perdues juste après récolte. Au-delà du produit non consommé, il faut considérer toute la chaine de production mobilisée pour ces produits perdus. Dans les zones de production maraichères ou les zones d’élevage, il y a peine 20% d’électrification, il faut donc passer par des solutions mini-réseaux ou autonomes de chambres froides.

Le froid est la seule technologie qui permet de conserver les denrées périssables. Les solutions que Freecold développent permettent de diminuer les pertes post récoltes, d’augmenter les revenus des agricultures et éleveurs, et augmenter la sécurité alimentaire. Le frein à la mise en place de ces solutions est que les producteurs maraichers n’ont pas accès aux financements ou très peu : 80% des petites entreprises n’ont pas accès aux crédits alors qu’une chambre froide qui est un outil générateur de revenus et qui permet d’éviter les pertes peut se rembourser en un an ou deux maximum.

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25 Juil 2024 / Par 
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Ressources externes Accès à l'énergie Tarification de l'électricité Planification Stratégie d'investissement Décarbonation Électrification Électrification des industries Énergies renouvelables Énergie éolienne Énergie solaire Géothermie Hydroélectrique Hydrogène Intégration des flexibilités Intégration des renouvelables Réseau résilient Actifs de production Optimisation de la production Continuité d'alimentation Pertes non techniques Télécomptage Exploitation & Maintenance Data & Télécommunication Supervision des moyens de télécommunication Téleconduite Maintenance corrective & prédictive Marchés d'énergies Cybersécurité Cadre réglementaire Cybersécurité IT/OT Stratégie cybersécurité Optimisation des réseaux Digitalisation réseau Interconnexion de réseaux Outils de simulation Dynamic Line Rating Déploiement de la fibre optique

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